Description
Saint Pier Giorgio Frassati (1901-1925), étudiant, alpiniste et membre du Tiers-Ordre dominicain a été canonisé le dimanche 7 septembre par Léon XIV avec saint Carlo Acutis – Disponible au format A3. Impression professionnelle à la demande, en France.
Il est déclaré saint patron des montagnards et fêté le 4 juillet.
Saint Pier Giorgio Frassati
Saint Pier Giorgio Frassati, a été une figure d’espérance lors du jubilé des jeunes à Rome. Le père Tanguy Pouliquen, délégué diocésain à la pastorale des jeunes et des vocations dans le Var explique que « Pier Giorgio n’a que 24 ans lorsqu’il est atteint de la poliomyélite, contractée au contact d’une famille pauvre. C’est une maladie qui envahit le système nerveux et peut entraîner des paralysies irréversibles. Alors qu’il rend son dernier souffle, il s’inquiète de faire livrer un médicament qu’il avait commandé auparavant pour un pauvre ».
Modèle d’espérance et de sainteté, saint Pier Giorgio Frassati invite à rester joyeux quelles que soient les difficultés rencontrées dans notre quotidien :
« Tant que la foi m’en donnera la force, je serai toujours heureux.
Un catholique ne saurait manquer de gaîté ;
la tristesse doit être bannie des cœurs catholiques ;
la douleur n’est pas la tristesse, qui est la pire de toutes les maladies.
C’est la foi qui permet d’être toujours joyeux.
C’est elle qui nous relève, nous remet debout.
L’espérance évite de rester accablé.
C’est difficile, mais cela se comprend avec le Christ.
Il nous aide à traverser les épreuves malgré tous les problèmes de la vie courante ».
Extraits tirés du site du diocèse de Fréjus – Toulon.
Vie de Pier Giorgio Frassati
Pier Giorgio est né à Turin dans une famille bourgeoise : son père, Alfredo Frassati, agnostique, est le fondateur du journal La Stampa ; sa mère, née Adélaïde Ametis, est une artiste peintre reconnue. Il poursuit ses études malgré des difficultés scolaires. Très vite, il se met au service de la foi et de la charité, secourant les pauvres des taudis de Turin, sans même que sa famille s’en aperçoive. Avec ses amis, il se consacre à un apostolat de son cru, au sein d’une compagnie créée par lui, la « compagnie des types louches », qui mêle amitié spirituelle et esprit potache lors d’excursions dans les Alpes.
L’arrivée du fascisme met fin à ses espoirs d’émergence d’une démocratie chrétienne qu’il soutient par ses engagements associatifs et politiques. Il cherche alors à promouvoir la primauté de la paix en Europe, notamment à travers l’association « Pax Romana ». Lors de l’une de ses visites aux pauvres, il contracte la poliomyélite et meurt une semaine après le déclenchement de la maladie, le 4 juillet 1925, à 24 ans.
Lors de son enterrement, de nombreuses personnes pauvres qui ont bénéficié de son aide sont présentes et ses proches se rendent compte de son activité secrète. Très vite, de nombreux groupes de jeunes catholiques s’inspirent de son exemple.
En 1981, son corps est exhumé et on le découvre intact. Il est alors transféré à la cathédrale Saint-Jean-Baptiste de Turin.
Il est déclaré vénérable en 1987, puis bienheureux en 1990, par Jean-Paul II. Décrit comme l’« homme des huit béatitudes » lors de sa béatification, il est déclaré saint patron des montagnards du fait de sa passion pour la montagne. Jean-Paul II et Benoît XVI le présentent comme un modèle de sainteté lors des différentes Journées mondiales de la jeunesse. Il est canonisé le 7 septembre 2025 par Léon XIV, en même temps que Carlo Acutis.
Source : Wikipédia.





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